Le royaume des « poils durs de Gascogne »
Sanglier, Chocolat, Noir et feu
La petite histoire
L’amour des teckels remonte à ma plus tendre enfance. En effet, c’est un
petit mâle du nom de Jimmy qui fut le compagnon de jeu de mes jeunes
années. Il était le meilleur de mes amis.
Tout naturellement, c’est vers les teckels que mon choix s’est posé. Dès que j’ai pu réaliser mon rêve, élever et entraîner ces merveilleux
petits chiens pleins de qualités.
petit mâle du nom de Jimmy qui fut le compagnon de jeu de mes jeunes
années. Il était le meilleur de mes amis.
Tout naturellement, c’est vers les teckels que mon choix s’est posé. Dès que j’ai pu réaliser mon rêve, élever et entraîner ces merveilleux
petits chiens pleins de qualités.
L'élevage
- Petit et familial, peu de sujets, mais élevés avec amour et passion. À Tulle, nos chiens se partagent entre les parties de chasse dans un parc de 35 hectares avec gibier, sangliers, lièvres, lapins, les sorties en ville, indispensables à une bonne socialisation, et les futures expositions de beauté. Sans oublier les longues séances de câlins au château.
Standard et histoire du teckel
Petit chien polyvalent, le teckel ne dépasse pas 9 kg pour un tout de taille de 35 cm. Il peut être le plus parfait des chiens de compagnie, par son caractère affectueux et enjoué, mais aussi redoutable chasseur, tant sur terre que sous terre.
Le teckel actuel descend du dacshsbracke, un basset à poil ras apparu dès le moyen âge en Saxe, en Rhénanie, en Westphalie, au Tyrol et en Suisse. Au XVIIIe siècle le teckel faisait l’objet d’une description en Allemagne (Le Chasseur allemand, complet, Fleming 1719). La race fut ensuite citée par Dobel en 1746 et par Reichemback en 1836.
En Allemagne, l’élevage se poursuivit avec beaucoup de sérieux, au point que cette nation conserve encore actuellement la paternité officielle de la race.
Le teckel actuel descend du dacshsbracke, un basset à poil ras apparu dès le moyen âge en Saxe, en Rhénanie, en Westphalie, au Tyrol et en Suisse. Au XVIIIe siècle le teckel faisait l’objet d’une description en Allemagne (Le Chasseur allemand, complet, Fleming 1719). La race fut ensuite citée par Dobel en 1746 et par Reichemback en 1836.
En Allemagne, l’élevage se poursuivit avec beaucoup de sérieux, au point que cette nation conserve encore actuellement la paternité officielle de la race.